Il fallait les voir, mercredi soir, dégustant leurs pâtes autour de Nicole, et mercredi matin au petit-déjeuner entourés des bénévoles du Relais Cité blanche et de la Tournée de rue ! Il fallait les voir s’embarquer pour Lourdes, simplement, sans appréhension apparente, dans la confiance. Il fallait les voir partir pour les Journées européennes avec Fratello, tout simplement parce que c’était beau à voir.

Cette joie, simple, confiante, rentrée ou extérieure selon les caractères, est une joie qui vient de Dieu. C’est la « joie de l’Evangile ».

Cette joie est communicative. Je vous garantis qu’elle réjouit le pasteur qui conduit la communauté du Rosaire. Mais je sais -c’est le plus important- qu’elle en réjouit beaucoup d’autres.

Merci au Seigneur, source de cette joie. Et merci à tous ceux qui la font vivre et se répandre.

Emmanuel Tois +